Bonjour,
Cette idée m'est venue lors d'un reportage consacré à Cydonia, ville ? Marsienne. (Je ferai un post dessus dans une autre rubrique)
On a beaucoup dit sur Mars et ses petits hommes verts... Croyance populaire, divagation des esprits, conspiration gouvernementale étasunienne, ou réalité ?
Depuis toujours, les scientifiques s'intéressent de près à notre soeur, Mars.
Mars, la quatrième planète à partir du Soleil, a toujours intrigué les hommes. Les Egyptiens de l'Antiquité appelaient Mars Her Descher : "la rouge". Les Romains nommèrent cette planète Mars, en référence à leur dieu de la guerre. Mars a donné son nom au mois de mars.
Mars figure parmi les cinq planètes visibles à l’œil nu dans le ciel et de ce fait observées depuis l’Antiquité.
Elle est aussi, de toutes les planètes du système solaire, celle qui offre le plus de ressemblances avec la nôtre (jour, appelé sol, d’une durée voisine de 24 h 37 min, inclinaison de l’axe de rotation de 24d, saisons...) et il n’est pas exclu qu’une activité biologique ait pu jadis y apparaître. C’est pourquoi elle suscite autant d’intérêt chez les scientifiques et a donné lieu, depuis le début des années 1960, à plus d’une trentaine de missions spatiales, dont une dizaine seulement ont connu un succès total.
Mars possède 2 satellites: Phobos et Deimos.
Certaines observation tendent à dire que la planète Mars est, bien sûr, l'objet d'une attention toute particulière. Les lits asséchés observés par les missions martiennes Mariner 9, Viking 1 et 2, Mars Pathfinder et Mars Global Surveyor indiquent clairement que Mars a connu dans sa jeunesse des écoulements permanents de fluides. Et qu'il y aurait une atmosphère de 100 mètre d'altitude...
La sonde martienne Mars Odyssey placée en 2001 en orbite martienne par la Nasa est équipée d'un spectromètre qui mesure les rayons gamma émis par le sol martien après impact des rayons cosmiques. Ce spectromètre a détecté de très importantes quantités d'atomes d'hydrogène présents en surface aux pôles mais également à soixante centimètres dans le proche sous-sol martien jusqu'à 60° de latitude nord et sud. La présence d'hydrogène signe la présence de glace d'eau, permettant ainsi d'attribuer la formation des lits d'écoulement à la présence d'eau liquide coulant jadis à la surface de Mars. La présence permanente d’eau suppose une température constamment supérieure à 0°C, température atteinte probablement grâce à l’existence d’une atmosphère dense générant un effet de serre important. Grâce à cette atmosphère, la planète a pu accumuler des micrométéorites à sa surface à l'instar de la Terre.
En 1976, les deux sondes Viking ne détectèrent ni molécules organiques ni vie à la surface de Mars sur une profondeur de quelques centimètres. En fait, le sol martien semble renfermer des oxydants puissants produits par le rayonnement solaire dans l’atmosphère et/ou par des processus photochimiques au niveau du sol. La présence d’oxydants exclut toute accumulation de molécules organiques à la surface de la planète. Des calculs de simulation suggèrent que la diffusion des oxydants dans le sous-sol ne devrait pas dépasser une profondeur de quelques mètres. L’absence de matière organique à la surface de Mars pourrait également être due à des processus de dégradation directe par les UV solaires, l’atmosphère martienne ne possédant pas de couche protectrice d’ozone. Les sondes Viking n'ont pas trouvé de molécules organiques à la surface de Mars mais en décembre 2005 on dispose de 34 météorites qui proviennent très probablement de Mars (http://www2.jpl.nasa.gov/snc/). Ce sont les météorites SNC, dont la fameuse météorite ALH 84001 présentée comme renfermant des nanobactéries martiennes fossilisées. Cette affirmation est aujourd'hui de plus en plus battue en brèche. Les microfossiles se sont très probablement formés par des processus minéraux consécutifs à des infitration d'eau terrestre. La présence de cristaux de magnétite présentée comme preuve de la présence de vie martienne dans la météorite n'est pas non plus convaincante dans la mesure où des cristaux identiques ont été obtenus en laboratoire, d'une manière non biologique. Cependant, certaines de ces météorites SNC renferment des molécules organiques. Les ingrédients qui ont permis l'apparition de la vie sur Terre étaient donc rassemblées sur Mars. Il est dès lors tentant de penser qu'une vie élémentaire de type terrestre ait pu apparaître et se développer sur la planète rouge.
En 1997, le robot martien Sojourner a analysé six sols et cinq roches autour du site d’atterrissage dans Ares Vallis. Les sols analysés sont tous identiques et très proches des sols analysés par les sondes Viking. Les roches, analysées sur quelques microns seulement, sont partiellement recouvertes de poussière du sol. La composition des roches rappelle celle de certains granites terrestres et se rapproche de celle de la croûte terrestre. Cependant, les résultats obtenus sont insuffisants pour pouvoir trancher entre une origine volcanique et sédimentaire.
Le 2 juin 2003, l'Agence spatiale européenne a lancé la mission martienne Mars Express du pas de tir de Baïkonour. La mission consistait à placer un orbiteur muni de caméras stéréoscopiques, de différents spectromètres pour analyser l'atmosphère et la composition du sol et d'un radar capable de fouiller le sol sur plusieurs kilomètres pour y rechercher l'eau liquide et la glace. Un atterrisseur, appelée Beagle 2 en hommage au bateau de Charles Darwin, devait poser une station d’analyse martienne d'environ dix kilos à la surface de Mars capablede prélever des échantillons dans le proche sous-sol à l’aide d’une "taupe" auto-enfouisseuse et dans les roches de surface à l’aide d’un bras manipulateur. Le bras manipulateur devait placer contre les roches de surface un broyeur/carottier, une caméra, un microscope, un spectromètre à rayon X (donnant la composition en éléments chimiques) et un spectromètre Mössbauer (donnant le degré d'oxydation du fer). Les échantillons prélevés devaient être analysés par un spectromètre de masse installé sur l’atterrisseur après combustion par pallier de températures, technique permettant d'analyser les molécules carbonées, c'est-à-dire d'en déterminer la nature, minérale ou organique, ainsi que sa distribution isotopique. La sonde Beagle 2 s'est correctement séparée de l'orbiteur Mars Express en décembre 2003 mais n'a plus jamais donné signe de vie depuis cette date.
Si la vie est apparue sur Mars, la recherche de ses vestiges fossilisés sera rendue plus facile que sur Terre par le fait que les sédiments martiens anciens n'ont pas été détruits par des processus tectoniques, contrairement aux sédiments terrestres.
http://www.dinosoria.com/mars_technique.htm
Mais il reste une énigme qui pourrait, et j'en suis seul responsable, m'amener à me poser plusieurs questions. Il n'y a pas de fumée sans feu, parait-il...
D'après certaines photos de la surface de Mars, on y voit un visage et des pyramides disposées comme celles de Gizeh en Egypte, le tout formant une ville, Cydonia.
En ayant revu des photos de ce visage prisent récemment, sincèrement il disparait. Donc pour ce phénomène, cela est dû au hasard, d'un éclairage, d'une formation géologique dû à l'érosion... sous réserve, que ce visage n'est pas été fait façon crop circle...
Liens :
http://secretebase.free.fr/planetes/mars/cydonia/cydonia.htm
http://reguite.free.fr/Extraterrestres/cydonia.html
Si il y a eu vie sur mars, avec des humanoïdes, que sont-ils devenus ? Ne pourrait-on pas imager le scénario suivant...:
Par un fait naturel ou propre aux habitants de Mars, l'atmosphère disparait peu à peu. La technologie Martienne étant très avancée, les martiens pour leurs survies, décident de venir coloniser la Terre, alors jeune planète à l'époque où les premiers hominidés apparaissent. Ceci expliquerait, pourquoi pas, le chainon manquant. Pendant que d'autres iraient découvrir et coloniser d'autres exoplanètes... Et pourquoi pas, ceci expliquant cela, ils viendraient voir de quelle façon l'homme évolue...
Dans les anciennes civilisations d'amérique du sud, il est dit que les dieux vinrent s'accoupler avec les femmes terriennes...